L'île de l'Atlantide

 
 
 

peinture représentant l'Atlantide

 

 

Les Aztèques s'imaginaient être originaires de Aztlan, une île de l'océan de l'est (par rapport à eux).

 

Montezuma dit à Cortez : "nos pères vivaient dans un lieu de félicité et d'abondance qu'ils appelaient Aztlan, ce qui signifie blancheur... En cet endroit s'élève une haute montagne au milieu de l'eau. On l'appelle Colhuacan parce que son sommet est quelque peu tourné vers la base et que ce nom veut dire montagne "crochue".

 

A Tula, se trouvent des colonnes à figure d'homme, appelées "les Atlantes".

 

Les Atlantes                                                       les Atlantes

 

Nous rencontrons des noms évocateurs du continent perdu à travers tout le Mexique et si nous redescendons le long de la côte de l'Amérique Centrale et de la partie nord de l'Amérique du Sud. Ainsi, mentionnons pour le Mexique : Tlapallan, Tollan, Azatlan et Aztlan.

 

Les Toltèques faisaient remonter leur migration d'un point de départ appelé "Aztlan" ou "Atlan", qui ne peut être que l'Atlantide (Bancroft, "Races primitives", volume V, page 221).

 

Le foyer originel des Nahuatlacas était Aztlan dont le site précis a été l'objet de maintes controverses. Les causes de leur exode ne peuvent qu'être conjecturées ; mais on peut supposer qu'ils en ont été chassés par leurs ennemis, car on décrit Aztlan comme un pays trop prodigieusement beau et agréable pour avoir été abandonné volontairement dans l'unique espoir d'en trouver un meilleur.

Signalons qu'Atlantide et Atlantique possèdent une racine identique et renferment les consonnes tl que l'on retrouve dans Quetzalcoatl, Popocatépetl, Toltèque, Aztlan, Atlas - noms historiques ou géographiques toujours en usage de part et d'autre de l'Atlantique.

 

La disparition de l'Atlantide - 9500 ans avant notre ère - correspond au recul de glaciation enregistré lors de la naissance du Gulf Stream. Il existe une chaîne dorsale au milieu de l'Atlantique qui réserve à ses explorateurs bien des surprises. C'est ce que rappelle Emmanuel Vélikovsky dans ses « Grands Bouleversements terrestres ». Le professeur M. Ewing, de l'université de Columbia, a publié en automne 1949 le rapport d'une expédition faite dans l'océan Atlantique, et dont les explorations portèrent spécialement sur la région de la crête médiane de l'Atlantique, cette chaîne montagneuse orientée du nord au sud au fond de l'océan, dont elle suit le dessin général. La crête, ainsi que les parties du fond océanique situées à sa droite et à sa gauche, révéla aux membres de l'expédition une série de faits qui constituent « de nouvelles énigmes scientifiques ».

 

« L'une d'elles fut la découverte de sable de plage préhistorique... sable remonté, dans un cas, d'une profondeur de 3200 mètres, et, dans l'autre cas, d'une profondeur de 5600 mètres, loin de tout endroit où des plages existent actuellement ».

 

Normalement, comme le souligne Vélikovsky : « il ne devrait pas y avoir de sable grossier sur les fonds éloignés des côtes, car le sable se forme sur les terres et sur le socle continental, qui constitue le rebord littoral de l'océan et de ses mers ».

 

Le professeur Ewing se trouva donc devant un dilemme : ou la terre s'était abaissée de 3200 à 4800 mètres, ou la mer avait jadis été de 3200 à 4800 mètres plus basse qu'aujourd'hui. Il s'interrogea : « Si la mer fut jadis 3200 mètres plus bas, où toute l'eau supplémentaire a-t-elle pu se rendre ? Car, comme le rappelle Vélikovsky : « On considère comme une vérité admise en géologie que les mers n'ont pas changé leurs fonds, sauf quand des eaux peu profondes ont envahi des régions continentales basses. Il était donc difficile d'accepter cette surprenante constatation, que le fond de l'océan eût jadis fait partie de la terre ferme ».

 

Autre sujet d'étonnement : on admettait communément que le fond de l'océan fût recouvert d'une épaisse couche de sédiment, puisque celui-ci était censé s'y accumuler depuis des temps immémoriaux. Or, sur les bassins flanquant la crête médiane de l'Atlantique, Ewing s'aperçut que la couche sédimentaire avait moins de trente mètres d'épaisseur. Elle était notamment composée de poussières volcaniques, de poussières continentales apportées par le vent, de cendres de météorites brûlées et de poussières cosmiques venant de l'espace extra-atmosphérique et se répandant incessamment sur le globe. L'expédition remonta également des roches de type igné (c'est-à-dire ayant subi l'action du feu) des flancs et des sommets de la crête, ce qui signifie que des volcans sous-marins et des flots de lave s'y sont manifesté. Il y avait aussi, à 1100 mètres de profondeur, du granit et des roches sédimentaires de types qui durent, à l'origine, avoir fait partie d'un continent.

 

Ainsi, le très sérieux professeur Ewing admettait l'existence d'un continent en plein océan atlantique! Mais, soucieux de ne point passer pour hérétique aux yeux de ses pairs, il s'empressait d'ajouter: « Il n'y a pas lieu de croire que cette puissante masse montagneuse sous-marine ait le moindre rapport avec la légendaire Atlantide perdue, que Platon décrit comme s'étant engloutie sous les vagues ».

 

Mais les indices ne manquent pas, sans compter les nombreuses analogies entre les civilisations sud-américaines et africaines (pyramides, emploi du bronze, momification) ne pouvant s'expliquer que par l'existence d'une terre intermédiaire, mentions de mystérieux civilisateurs venus de l'Est pour les anciennes civilisations d'Amérique du Sud, et de l'Ouest pour les Égyptiens. Autant de constatations confirmant les dires de Platon, et permettant de croire en l'hypothèse de l'Atlantide. Une Atlantide que ne contrarie nullement la théorie «de la dérive des continents » de Wagener.

 

Cette Atlantide appartient à tous les Atlantes qui se sont réincarnés, qui ont accepté de transmuter le mal et préparer la terre pour la nouvelle ère à venir.

Beaucoup des âmes atlantes élevées qui sont mortes dans le cataclysme, ont tenues l'équilibre pendant toutes ces années, mais avec la réapparition de l'Atlantide, elles abandonneront cette responsabilité.

 

Par conséquent, l'humanité, avec sa conscience plus élevée gagnée dans ses incarnations d'homme depuis lors, devra faire face à ce mal, tout en acceptant les cadeaux, les avantages et la connaissance évolutionnaire de l'Atlantide.

 

L'Atlantide s'étendait de ce qui est maintenant la côte occidentale de l'Afrique jusqu'à la côte de fonte de l'Amérique. C'était une belle terre de montagnes très hautes, dont certains sommets demeurent aux Açores.

 

La Grande Bretagne possède des restes de l'Atlantide, en particulier l'île d'Iona, mais également les îles Hébrides, les îles occidentales écossaises et le pays occidental de l'Angleterre, de l'Islande et du Groenland, de la côte orientale du Canada et de la côte orientale de l'Amérique vers le bas jusqu'à l'état du Maine, sont également des parties de l'Atlantide. Ce sont les seuls secteurs géographiques qui sont à gauche de ce qui était l'Atlantide par le passé.

 

carte de l'atlantide (Le monde antédiluvien, Ignatius Donnely)              Carte de l'atlantide (le monde antédiluvien, Ignatius Donnely)

cartes dressées d'après les sondages océaniques (Ignatius Donnely)

 

 

L'Atlantide aura existée pendant presque 250.000 ans de sa naissance à sa fin, les dernières îles ayant été englouties il y a à peu près 9000 ans.

Celà signifie que si nous nous sommes réincarnés sur terre depuis le dernier quart de million d'années, il y a de fortes chances pour que nous ayons vécu une ou plusieurs vies en Atlantide. Etant donné que la culture atlante a existé pendant presque 10 grands cycles de précession des équinoxes, nous avons pu passer des centaines de vie en Atlantide ou dans ses colonies.

 

L'Atlantide n'était pas la seule société civilisée sur terre à la même époque. Dans la zone du Pacifique, nous avons aussi pu vivre sur une terre appelée Lémurie, plus connue sous le nom de Mu. Il est important de préciser que Mu devint une colonie atlante, mais tout en gardant son propre langage et sa propre écriture. Assoiffés de pouvoir et de la technologie atlante, ils se retournèrent plus tard contre leurs bienfaiteurs.

 

Les cycles se répètent et les mêmes énergies stellaires qui ont régi les derniers jours de l'Atlantide, reviennent. Les âmes atlantes sont revenues sur terre pendant le siècle passé, en nombre significatif pour affecter le développement de beaucoup de nations, particulièrement les nations technologiques telles que l'Allemagne, les Etats-Unis, l'Angleterre et la Russie.